Ce semestre j’ai eu l’expérience de travailler avec plusieurs groupes de cultures différentes. Ça faisait partie de mon projet final pour obtenir mon diplôme: la recherche des cultures différentes par l’apprentissage de leurs danses. Le projet entier ne s’est pas passé comme j’avais pensé. Il y avait beaucoup de frustrations en travaillant avec ces groupes, mais bien sûr plusieurs leçons à apprendre aussi.
Le premier groupe avec lequel j’ai travaillé était le club hawaiien à WOU. Je me suis jointe à eux pour exécuter des hulas (la danse hawaiienne) le premier mai à leur Luau (un évènement avec un festin est un spectacle de la danse hula). En travaillant avec eux, je les ai trouvés très décontractés. Ceci était assez frustrant pour moi, parce que je voulais apprendre leurs danses avec excellence. Pourtant, je pense que je dois apprendre à être plus souple dans ma vie, comme leur exemple, et pas être si contrôlée.
Un autre groupe avec lequel j’ai travaillé était quatre femmes africaines. Deux étaient d’Uganda, une du Ghana, et l’autre du Burkina Faso. Nous apprenions une danse du style du Congo pour l’exécuter à la Nuit Internationale, un évènement qui s’est passé vendredi dernier. Avec ces femmes, c’était extrêmement difficile de trouver des heures qui marchaient pour chacune pour faire des répétitions ensemble. La femme qui enseignait la danse pensait que si une personne ne pouvait pas être là, on ne pouvait pas faire la danse. Dans mon expérience avec la danse, on doit être capable de faire sa danse en dormant, avec ou sans la musique ou les autres danseurs. Le point de vue de la femme africaine, cependant, me donne l’idée que la communauté est très importante dans la culture africaine. Peut-être, moi, je dois essayer de passer plus de temps avec ma famille et mes amis.
Un autre groupe avec lequel j’ai travaillé était quatre femmes africaines. Deux étaient d’Uganda, une du Ghana, et l’autre du Burkina Faso. Nous apprenions une danse du style du Congo pour l’exécuter à la Nuit Internationale, un évènement qui s’est passé vendredi dernier. Avec ces femmes, c’était extrêmement difficile de trouver des heures qui marchaient pour chacune pour faire des répétitions ensemble. La femme qui enseignait la danse pensait que si une personne ne pouvait pas être là, on ne pouvait pas faire la danse. Dans mon expérience avec la danse, on doit être capable de faire sa danse en dormant, avec ou sans la musique ou les autres danseurs. Le point de vue de la femme africaine, cependant, me donne l’idée que la communauté est très importante dans la culture africaine. Peut-être, moi, je dois essayer de passer plus de temps avec ma famille et mes amis.
Enfin j’ai eu l’opportunité de travailler avec un groupe d’étudiants en apprenant la danse Salsa. Le type de Salsa que nous faisons s’appelle «Casino Rueda », et on le fait en ronde, en changeant de partenaires.
Nos professeurs rendent l’expérience très amusante, et je pense que cette danse de Cuba combine les deux leçons des autres groupes culturaux avec lesquels j’ai travaillé. La Salsa Casino Rueda est axée sur s’amuser avec des amis: la détente et la communauté—des bonnes leçons à apprendre!
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